Malheureusement pour son peuple, le cas de la Grèce est emblématique des choix politiques faits par les dirigeants européens et les technocrates de Bruxelles.
1 000 milliards d’euros : c’est le montant annuel de l’évasion fiscale dans la zone euro, organisé par les grandes banques à leur propre profit, à celui des grandes entreprises et de la finance internationale. La dette souveraine grecque s’élève à 320 milliards d’euros. A comparer aux 10 000 milliards d’euros que représente le PIB européen et aux 100 milliards d’euros annuels que les pays des Nations unies doivent trouver tous les ans pour alimenter le Fonds vert pour le climat.
http://www.liberation.fr/economie/2015/07/15/grece-la-fin-du-reve-europeen_1348326